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- SALVATORE G.November 2013EN CE QUI CONCERNE L'E-MAIL DE MR. MINACORI ET LES COMMENTAIRES ULTRA-SIGNIFICATIFS SUR LA STRUCTURE, LE SUSNOMMÉ DEVRAIT EXPLIQUER POURQUOI, AU MOINS SIX FOIS PAR AN ET PENDANT UNE DIZAINE D'ANNÉES CONSÉCUTIVES, IL A ÉTÉ, AVEC SA FAMILLE, UN HÔTE ASSIDU, ÉGALEMENT APPRÉCIÉ PAR LA STRUCTURE, ET ENSUITE... IL DEVRAIT, EN TOUTE SINCÉRITÉ, EXPLIQUER POURQUOI IL A RENONCÉ À ÊTRE UN HÔTE. EN CE QUI CONCERNE LA GENTILLESSE DU PERSONNEL, IL EST ÉVIDENT QU'EN TANT QU'EMPLOYÉ, IL DOIT SE CONFORMER AUX INSTRUCTIONS QUI LUI SONT DONNÉES PAR LA HIÉRARCHIE. "SI LE POISSON NE PUE PAS, C'EST QUE LA TÊTE EST SAINE". LA GENTILLESSE DESCEND DONC DU PROPRIÉTAIRE DE L'ÉTABLISSEMENT QUI EST LE PREMIER À VOULOIR ACCUEILLIR LES CLIENTS AVEC LA PLUS GRANDE GENTILLESSE. TOUT CELA À CONDITION QUE LES HÔTES SE COMPORTENT DE MANIÈRE MÉRITANTE ET NE PENSENT PAS À IMPOSER "LEURS PROPRES IDÉES" AUX EXPLOITANTS, QUI DOIVENT LES SUBIR "OB TORTO COLLO". MALGRÉ TOUT, L'ENTREPRISE ACCUEILLE TOUJOURS LES AMOUREUX DE LA STRUCTURE, AVEC LES CÔTÉS POSITIFS ET NÉGATIFS, ET JE SUIS OBLIGÉ DE RECONNAÎTRE QUE LA FAMILLE MINACORE A ÉTÉ UN VÉRITABLE AMOUREUX DU "CAPO SCALAMBRI". LA COMPARAISON APODICTIQUE DE L'EMPLOYÉ CLASSIQUE QUI, APRÈS DIX ANS DE TRAVAIL, EST LICENCIÉ ET CRACHE IMMÉDIATEMENT DANS L'ASSIETTE OÙ LUI ET SA FAMILLE ONT MANGÉ PENDANT PLUSIEURS ANNÉES, VIENT NATURELLEMENT. ENFIN, L'ULTRA-JUGEMENT SELON LEQUEL LES CLIENTS NE REVIENNENT PAS NE PEUT PAS ÊTRE FAIT PAR M. MINACORI, MAIS SEULEMENT PAR LE CHIFFRE D'AFFAIRES. MINACORI, MAIS SEULEMENT LE CHIFFRE D'AFFAIRES RÉALISÉ PAR L'ÉTABLISSEMENT, QUI PEUT ÉGALEMENT ÊTRE VU, LE CAS ÉCHÉANT, PAR MR. MINACORI.Traduit automatiquement.
- Felice M.July 2012Situé dans une belle région, mais négligé : arbres avec des branches mortes, feuilles partout, routes d'accès poussiéreuses, lampadaires certains en panne d'autres éteints. Employés courtois et serviables, contrairement au propriétaire, et à cause de sa "performance" les clients ne reviennent pas.Traduit automatiquement.
- Hillen J.August 2011